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L’impayable et unique belge Jean-Claude Van Damne, alias de son vrai nom Jean-Claude Van Varenberg, s’auto-proclame The Muscles from Brussels (notez, dans un souci de compréhension, que le langage utilisé par JCVD sera en italiques dans cet article) et n’a que peu de choses en commun avec Volvo si ce n’est d’être costaud. L’acteur le plus aware de l’univers est resté célèbre pour son grand écart à vous écrabouiller les glaouis sans ménagement.

Voici donc la nouvelle égérie du constructeur suédois, JCVD himself et comme toujours, il réacte au quart de tour en faisant son fameux grand écart (The Epic Split dans cette vidéo publicitaire) afin de vanter la technologie Dynamic Steering, qui permet une meilleure stabilité directionnelle. Si JCVD ne casse pas une noisette avec ses fesses dans cette vidéo (ni une Volvo d’ailleurs), force est de constater qu’à 53 ans, il est en pleine forme et n’a plus le brain retourné dans le tête comme lors de sa grande période aware.

Bien sûr, on ne peut pas louper une déclaration du belge le plus musclé donc voici ce qu’il a déclaré lors du tournage de cette vidéo :

« J’ai connu des hauts et des bas, parcouru des chemins de traverse et affronté des vents contraires, c’est ce qui m’a permis de devenir l’homme que je suis aujourd’hui. À présent, me voici devant vous. Ce que vous voyez, c’est un corps sculpté à la perfection, des jambes conçues pour défier les lois de la physique et un état d’esprit apte à maîtriser les grands écarts les plus impressionnants. »

Notez que selon Volvo, la perf’ de Jean-Clode a été réalisée sans trucage, cet homme étant un effet spécial à lui tout seul. Car s’il y a bien une chose que l’on ne retirera pas à Van Damne, ce sont ses performances et son physique… à défaut de son intelligence à toute épreuve…

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La Ford Mustang fête cette année son cinquantième anniversaire en grandes pompes puisqu’elle en profite pour dévoiler sa génération 2014 sur laquelle nous reviendrons plus en détails plus loin dans l’article. Née Pony Car, comprenez un coupé de grande série économique car reprenant les dessous techniques d’une berline de grande diffusion, la Falcon aux origines de la Mustang de 1963, elle était destinée aussi bien aux femmes qu’aux hommes. Lee Iaccoca, l’emblématique patron de Chrysler alors chef de produit chez Ford, avait tapé dans le mille avec ce concept puisque ce fut un grand succès commercial dès sa sortie.

Ce n’est que plus tard, avec la génération 2005 surtout, que la Mustang s’émancipa des dessous techniques de berline et se mua en Muscle Car, si emblématique des USA. Le nom Mustang s’émancipe quand à lui de la marque Ford et est même devenu l’un des plus connus au monde, aux côtés d’Apple, Coca Cola et Google, excusez du peu ! Pour mieux prouver sa renommée, on dit maintenant une Mustang comme l’on dit une Clio ou une Golf, par exemple.

Il est d’ailleurs presque curieux que la Mustang ait une telle réputation en Europe car après tout, seule la première génération a été importée en Europe. heureusement d’ailleurs car les générations suivantes, jusqu’en 2005, ont connu des errements qui auraient pu lui être fatal. En 1974, la Mustang, à cause du premier choc pétrolier, sort carrément de la catégorie des sportives en adoptant même pas un V8. À sa place sous le capot, un pauvre quatre cylindres 2.3 litres de 88 misérables canassons et quand même un V6 mais de seulement 2.8 litres et 105 ch. Autant dire que la Mustang était tombée bien bas…

Heureusement, la Mustang fit sa mue en 2005 et en retrouvant ses ligne d’origine, elle retrouvera aussi des mécaniques dignes de sa légende en hébergeant un bon gros V8 qui ira jusqu’à développer plus de 800 ch avec les versions extrêmes développées par Shelby et aux noms évocateurs de Boss ou encore SuperSnake. Cependant, la Mustang ne pouvait plus tellement cacher ses rides techniques, elle qui faisait encore appel à un préhistorique pont arrières rigide monté sur des ressorts à lames.

Et puis la Mustang commençait à regarder d’un air envieux son éternelle rivale, la Chevrolet Camaro qui, elle, est importée en Europe depuis sa renaissance dans les années 2000 où elle se taille un joli succès commercial. La Mustang se devait donc d’évoluer de manière radicale et c’est ce qu’elle fait de splendide manière avec cette génération 2014.

Pour commencer, cette Mustang 2014 sera officiellement importée en Europe, où Ford ne manque pas de points de ventes. mais ce ne sera pas avant 2015, la voiture étant exclusivement fabriquée aux USA et il faut bien alimenter le marché domestique avant de penser au reste du monde.

Ensuite, si la Mustang reprend la ligne générale du modèle de 2005 et surtout de la version Hatchback rendue mondialement célèbre grâce à l’immense Steve McQueen et à la plus belle poursuite du cinéma contemporain, j’ai nommé le film policier Bullit, elle modernise le tout de fort belle manière en osant même abandonner deux traits stylistiques typiques, les phares ronds et le profil de la glace latérale dit en crosse de hockey.

Heureusement, elle garde sa signature la plus connue, les feux arrière à trois barettes et reste une Mustang car on la reconnait du premier coup d’oeil, un joli tour de force de la part des stylistes de Ford. La révolution se poursuit avec le châssis qui abandonne enfin l’antique pont rigide et les ressorts à lames pour un très moderne train arrière multi-bras et ressorts hélicoïdaux. La Mustang leur adjoint même un différentiel à glissement limité dit actif, capable de réguler la puissance roue par roue.

La révolution se poursuit sous le capot puisque la Mustang 2014 abandonne enfin le V8 pour revenir au quatre cylindres. Mais attention, point de scandale en vue comme sur la calamiteuse version de 1974, ce quatre pattes est tout ce qu’il y a de plus moderne avec sa suralimentation à double étage, sa levée variable des soupapes, son injection directe d’essence, son système de récupération d’énergie et même son Start & Stop ! Il faut dire que ce moteur a de qui tenir puisqu’il propulse déjà la Focus ST où, avec ses deux litres, il développe 250 ch.

Mais la Mustang fait mieux que sa petite soeur puisque le quatre pattes monte à 2.3 litres et 303 ch. Surtout, il délivre bien plus de couple que l’ancien V6 et consomme beaucoup moins. Autant dire que cette version est digne de la légende, d’autant plus qu’elle garantit un accès à la gamme Mustang très économique puisque cette motorisation est vendue moins de 30 000 € outre-Atlantique. Hélas, ce ne sera pas le cas en Europe, les taxes étant passées par là…

Pour terminer, la Mustang n’oubliera pas cette fois les puristes puisqu’une version V8 est bien au programme et ses déclinaisons dues à Shelby ne manqueront pas de faire vivre la Légende avec panache, comme il se doit !

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